2 juillet 2022 - 18 septembre  2022  
                  
                
                
                 
                
                 
                
                 
                
                
                 
                   
                 
                   
                
                   
                 
                
                   
                 
                
                  Ernest Pignon-Ernest
                    aura donc  poussé l’art de la « révélation »,
                    jusqu’au bout. 
                 
                   
                 Jusqu’au plus beau. Le
                    plus invisible. Longtemps, l’artiste aux semelles de vent, 
                 
                   
                 a   posé  son
                    échelle  sur les murs   de Naples, Nice,
                    Afrique du sud, posant  des 
                 
                   
                 dessins  dont 
                    le destin  était de disparaître avec le temps. L’art
                    des rues. Depuis 
                 
                   
                 plusieurs  années,
                    l’un des artistes majeurs de   notre  temps,
                      dépose ses extases, 
                 
                     
                    
                      figures féminines du don spirituel et
                      religieux. De la chapelle Saint-Pons à Nice, 
                 
                     
                
                      au  palais  des  Papes,  à 
                      Avignon. Marie-Madeleine...   Sainte-Thérèse
                      d’Avila... 
                 
                     
                Hildegarde
                      de Bingen…Huit présences, huit dessins, huit corps
                      féminins, comme  
                     
                 
                     
                soulevés
                      par le divin, la   grâce, au-dessus d’un court filet
                      d’eau.  
                     
                 
                      
                
                  Bernay,
sa
                      région, n’en reviendront pas de toute cette beauté
                      silencieuse. De cette 
                 
                     
                
                      immense révélation du sacré.  
                     
                 
                     
                 
                      
                 
                 
                 
                 
                
                  Pierre-Louis
Basse
                      
  
                 
                     
                 
                     
                 
                     
                 
                     
                 
                     
                 
                     
                 
                     
                 
                     
                 
                     
                 
                     
                 
                     
                 
                     
                 
                     
                 
                     
                 
                     
                 
                     
                 
                     
                                  
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